Un blues
hexagonal ambiant résonne dans l’air du temps, grave comme
le timbre de Burger, un gris pétrole sur des regards fuyants, du venin
alentours et des envies en miettes, des lubies en lambeaux, on tourne en rond
et ne respire plus. La légèreté dans les godasses.
La planète endolorie flotte dans le noir
limpide, on se fane et s’assèche. Toutes les forces s’amenuisent.
Jamais je n’ai
trouvé un album de Rodolphe Burger aussi beau.
Rodolphe
Burger 2017 « Good » label : dernière bande
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