Le timbre grave d’un violoncelle donne la réplique à une voix féminine évaporée dans une nature vierge, un coin perdu au milieu de nulle part pour un mariage artistique divin, une autre rencontre harmonieuse. Et puis des nappes de cuivres diffusent, des ambiances sonores collectionnées par Ethan Rose épousent définitivement la voix délicate de Laura Gibson. C’est en fait acuarela, label qui la distribue qui vient percuter Locust, celui qui héberge les explorations musicales d’Ethan Rose.
Des prises acoustiques viennent réchauffer l’amour des vieilles technologies qui font la renommée du compositeur habituellement, tandis que la voix mutine et délicate de la chanteuse fredonne les couleurs pastelles et le doux soleil matinal de la pochette.
Un petit endroit modeste, inhabituel qui dessine cette union, dans des vapeurs romantiques et minimales.
Bridge Carols vient conclure une tournée japonaise des deux protagonistes, comme une pause méritée, une accalmie printanière, une synthèse passionnée.
Un petit bijou lancinant, frais et apaisant.
Des prises acoustiques viennent réchauffer l’amour des vieilles technologies qui font la renommée du compositeur habituellement, tandis que la voix mutine et délicate de la chanteuse fredonne les couleurs pastelles et le doux soleil matinal de la pochette.
Un petit endroit modeste, inhabituel qui dessine cette union, dans des vapeurs romantiques et minimales.
Bridge Carols vient conclure une tournée japonaise des deux protagonistes, comme une pause méritée, une accalmie printanière, une synthèse passionnée.
Un petit bijou lancinant, frais et apaisant.
Laura Gibson & Ethan Rose 2010 "bridge carols" label : baskaru