Remède idéal à la panne d'inspiration, à la « chiadure » médiocre d'une muse en berne, « Blank grey canvas sky » est exactement le catalyseur qu'il faut pour que mes ciels retrouvent vie. C'est le fruit d'une association magistrale, un point de rencontre parfait, une connexion juste entre deux visions musicales compatibles. Le néoclassique de Peter Broderick et la crème ambiante électronique de Machinefabriek dansent autour d'un seul élément qui les lie cette jonction unique, le silence une fois de plus. Il est fort à parier que cet art de l'aquarelle musicale relève d'une maîtrise surdimensionnée, un état de grâce basé sur le blanc de la trame. Ces épousailles ponctuelles du classique et de l'ordinateur prend aux tripes et aux larmes quand, dès la deuxième piste, le sommet est atteint avec « planes ». L'aboutissement d'une telle association n'est pas de composer une œuvre philharmonique moderne, mais seulement de dessiner un paysage évolutif et impressionniste.
Peter Broderick flirte avec quelques labels de qualité; type, bella union, kning disc, et distille un art néoclassique très proche de Sylvain Chauveau, ou Max Richter, prolixe et généreux ( il a permis a erased tapes de sortir de l'ombre les travaux pianistiques de Nils Fraham), il est un paysagiste gigantesque.
Machinefabriek est le très prolifique Rutger Zuydervelt, sa discographie est un véritable labyrinthe, énormément corsée de multiples collaborations, ricochant de labels en labels . Mais c'est surtout un magicien sonore, un visionnaire talentueux et un expert de paysages ambiants.
La jonction est là, bien assise autour de vastes paysages et de silences, les deux points communs des deux cerveaux en ébullition. Pour le reste, il n'est question que de mariage des différences.
« Planes » sur la platine et les démons démissionnaires s'évaporent comme par enchantement laissant place à l'hospitalité inspirée illimitée.
Peter Broderick flirte avec quelques labels de qualité; type, bella union, kning disc, et distille un art néoclassique très proche de Sylvain Chauveau, ou Max Richter, prolixe et généreux ( il a permis a erased tapes de sortir de l'ombre les travaux pianistiques de Nils Fraham), il est un paysagiste gigantesque.
Machinefabriek est le très prolifique Rutger Zuydervelt, sa discographie est un véritable labyrinthe, énormément corsée de multiples collaborations, ricochant de labels en labels . Mais c'est surtout un magicien sonore, un visionnaire talentueux et un expert de paysages ambiants.
La jonction est là, bien assise autour de vastes paysages et de silences, les deux points communs des deux cerveaux en ébullition. Pour le reste, il n'est question que de mariage des différences.
« Planes » sur la platine et les démons démissionnaires s'évaporent comme par enchantement laissant place à l'hospitalité inspirée illimitée.
Peter Broderick & Machinefabriek 2009 " blank grey canvas sky" label : fang
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