La « Reverie » est passée, la bascule est là, le soleil repart dans l'autre sens, les moissonneuses le savent bien. La chaume est une couleur que j'adore renifler. L'ocre nacré cuit souligne les bois. Le ciel est ambré, je découvre après Rebecca et Aliayta, « Still, there is the sea » d'Ambre Ciel. Jessica Hébert fait danser l'orchestre en fragments d'émotions avec son chant qui fait place discrète.
J'ai vu des immeubles surgir, puis disparaître, l'aurore comme le crépuscule là où tout se bouscule avant le noir et le grand jour. Agnès Obel, Soap & Skin... elle prend possession d'une âme philharmonique ambiante pour chanter alors que tout se fige.
Tout plane au sommet de quelques chose. Un mirage. Dans des nuées de poussière de blé battu, Ambre culmine.
Ambre Ciel 2025 « Still, there is the Sea »
7 commentaires:
L'explorateur Charlu a encore frappé !! , de nouveau une superbe découverte
la Bizz
Paps
Tu me fais découvir chez moi, faut le faire. Merci.
Découvrir*** Oups!
p'tit coup de fraîcheur en ce moment..ça devrait te plaire. Biz too
ah ah, depuis le temps que je farfouille par chez toi !! ceci dit, j'ai fait le chemin inverse cette fois-ci..j'ai appris après ..me suis dit " bah voyons.. pas étonnant ;D"
Papier toujours aussi savoureux, je me suis plongé dans les deux albums, Ambre Aliayta et Rebecca, déjà les prénoms! Pour capter toute le fraîcheur de la musique, climat éthéré qui fait du bien sous la chaleur de l'été le moins chaud du reste de notre vie? Chouettes moments!!
Je viens ratraper mon retard de découvertes et d'écoutes. Là je sors juste de l'écoute du très bon Pulp....j'adopte. Je pars à la chasse des autres albums.
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