Transition de gris idéale, un gr-E
parfait cuit à point. Fauteuil, pommier, chambre, solitude,
précipice, Ignatus.. Tellement nous sommes dans une époque tant
attendue, tellement anticipée avant, il faut voir comment ça se
passe. Nous la voici, cette E-pok. Tellement on a voulu cette ère et
de voir en fait ce qu'il en est.... L'E-spoir et l'E-coeurement,
toute cette aigreur en l'E-coeur.
Pas tant que c'était mieux avant,
quoique, on finit par s'y sentir bien dedans avec un peu de recul, des belles images percutent nos rétines mutées, ça
dépend quoi et qu-E, mais les fléaux s'E-tendent et s'épanouissent.
Tellement content de retrouver E-gnatus. Je me souviens du gazon
tellement vert, il y a 20 ans..et puis le gris, tellement l'époque,
et pourtant « L'air est différent » …..
à quoi sert de pleurer dans l'eau, ou de bouffer les miettes de
déprime dans la barbe d'un Dieu, d'avoir un cœur de nouille dans un
corps de bœuf....
Ce n'est pas un hasard, je feuillette
les sublimes clichés de la « France abandonnée » de Sylvain
MARGAINE et aussi un recueil sur les plantes des villes « Flore
des friches urbaines » de MURATET, comme un espoir. En tapant « friche
urbaine » sur un moteur chercheur, on tombe sur des E-mages
fantastiques d'abandons comme une gueule de bois ou de béton, de
constats gris d'une époque en friche. J'adore le nouvel album
d'Ignatus (j'ai piqué ces images).
Va falloir trouver son chemin malgré
toutes les tempêtes, grises, grise, gris gris, gr'E.. E-pok E-pok
E-pok..comme un hoquet.
1 commentaire:
Ah ouaih... ses disques pour 1euro ??!! Z'en avaient un peu parlé du vert et du blanc.. puis plus rien.
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