Une ode merveilleuse aux nuits qui s’étalent sur nos jours,
doucement, surement. Un hymne néoclassique à la lune qui refroidit l’obscurité
gourmande.
Tellement de musique pour le cinéma depuis les saisons de
Vivaldi revisitées. Un album à lui, juste pour conter le sombre, du crépuscule
à l’aurore.
Max Richter
2015 « Sleep » label : Deutsche Grammophon
1 commentaire:
Exactement .. pour l'instant, j'écoute dans le train à moitié endormi, c'est répétitif, lancinant, beau .. mais faut que je descende du wagon après 45 min de voyage nocturne.
J'avais déjà vécu de telle plages longues avec une version allongé d'un album de AR.. quand c'est bon, ça embarque loin..très loin.
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