Le sel infini du sable et de l'eau, ocre et cobalt, écume et nuages, des étendues où la lumière est religion.
Stephan Micus 1986 "Ocean"
Stephan Micus 2017 "Inland sea"
label : ECM
La croûte gelée se ramollit, ventre flasque et tiède respiration. Le ciel se charge de l’halènes des Steppes, le silence gronde. Notre ...
3 commentaires:
C'est toujours un grand voyage Micus.
et on ne sais jamais bien où.
Je n'ai pas d'habitude l'écoute pour cette musique, rarement en tout cas, mais comme pour Pascal Georges qui m'entraîne "chez lui", ici tu as réussi à me convaincre. C'est mieux que l'entendre
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