Dans la balance, il y a Moods muselé et Neil Young au sommet de son art. J’écoute « Psychedelic pill ». ……. Comme une rage qui gronde, des morceaux de vingt minutes comme pour gueuler plus fort, faire durer le débat.
85 minutes de pur jus, la nique à toutes les discographies. Un étendard. On pourrait écouter ça et rien d’autre. Formidable jeunesse éternelle, une vision impeccable d’un art que l’on suit depuis des décennies. Moods disparaît, Neil Young est toujours là.. j’écoute « Psychedelic pill » avec la plèvre en folie et les larmes aux yeux .. pour deux raisons. Rage, passion, colère, acharnement..
Bien plus que le disque de l’année…. « And now.. DRIFTIN BACK…. »
Neil Young 2012 « Psychedelic pill »
8 commentaires:
Oui j'ai vu... bah banco, on y go :D
Je ne suis pas un inconditionnel de N.Young mais là j'suis fan. (J'ai Beaucoup écouté After the Gold Rush quand j'étais jeunot)
foncez les p'tits gars.. c'est la fète :D
...Et puis chez Neil Young c'est un peu comme chez Charlu... On s'y sent toujours bienvenu et confo... bon an, mal an...
Je confirme. Le premier titre a quelque chose d'étonnant, un démarrage tout en acoustique pour glisser, plutôt pour se dresser, tout instrument dehors ... Et le Neil qui retrouve sa rage douce et forte!!!
Oui..ça commence comme sur "Silver & gold"..puis on part sur Weld, ou Ragged... y'a même un morceau qui pourrait figurer sur le Noise (cd2).. puis ça fait du bien d'aimer un morceau sur 20 min.. prendre son temps..
Carl mon ami... tu viens quand tu veux ici..
C'est vrai que Neil a déçu certaines fois depuis le début des 00's. Mais là, avec "Le Noise" en 2010, le loner est plus en forme que jamais.
2 superbes disques de rock psyché, de folk électriques et de blues épileptique, et ceci la même année....2012, année Neil Young ????
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