Neil Young 2012 bis
Dans la balance, il y a Moods muselé et Neil Young au sommet de son art. J’écoute « Psychedelic pill ». ……. Comme une rage qui gronde, des morceaux de vingt minutes comme pour gueuler plus fort, faire durer le débat.
85 minutes de pur jus, la nique à toutes les discographies. Un étendard. On pourrait écouter ça et rien d’autre. Formidable jeunesse éternelle, une vision impeccable d’un art que l’on suit depuis des décennies. Moods disparaît, Neil Young est toujours là.. j’écoute « Psychedelic pill » avec la plèvre en folie et les larmes aux yeux .. pour deux raisons. Rage, passion, colère, acharnement..
Bien plus que le disque de l’année…. « And now.. DRIFTIN BACK…. »
Neil Young 2012 « Psychedelic pill »
Commentaires
On ne musèle pas plus un Moods qu'un Young toutefois :
http://alibabascave.blogspot.fr/
A très bientôt ! ;-)
Jimmy
2 superbes disques de rock psyché, de folk électriques et de blues épileptique, et ceci la même année....2012, année Neil Young ????