Ce garçon, en dehors de refaire le son des papys prog genre Tull and Co, Caravan, Elmer etc, sort très régulièrement des opus sonores aboutis, puissants et très chiadés avec toujours la même dégagement alentours.
C'est un énième drapeau brandit du genre, car si la tiquette Kokalane vibre encore sous les décombres de quelques acharnés, il est des acteurs qui se battent et ne lâchent que dalle, défendent et guerroient sans barouder. Ian Anderson à l'Olympia... Steven Wilson à Pleyel. Bref. Ça bataille à manger un toit, étoiles abyssales au plafond.
C'est une belle transition en apothéose pour les disques avec un morceau long sur chaque face. J'adore, je prends les 2 côtés d'un bloc, ou en deux fois..j'adore et récidive.
Ce mec là travaille non-stop. C'est un style, un genre, une famille..que dis-je..un monde. Steven Wilson envoie sans cesse.
Steven Wilson 2025 « The Overview »