Grand jeu sans frontière des bloggers mangeurs de disques
5eme édition
Les disques, c'est comme le vin, des années avec, des années sans... mais que se passait-il l'année de votre naissance? (Un choix discographique de cette année-là.)
Vendredi 25 janvier : Happy Bithdyear
L’embarras du choix pour cette année charnière, une montagne de disques de grande qualité. Mon choix, Blind Faith, groupe éphémère, mais sommet musical :
Une bouffée d'oxygène pour ceux qui croyaient les Cream disparus. La voix de Jack Bruce est sublimement remplacée par celle de Steve Winwood. Comment peut on chanter le blues placé aussi haut ? Eric Clapton quant à lui passe son temps à se fondre au milieu de protagonistes plus prestigieux les uns que les autres. C'est pourtant lui épuisé, qui lâche l'affaire et se réfugie pour cogiter et tirer les leçons des fulgurances de Cream. Une autre lueur éreintée sortant d'un trafic flingué le rejoint, Steve Winwood avec qui il commence à gratter, écrire. Deux demi-Dieu verront alors débarquer un autre rescapé aux peaux tendues Ginger Baker. Des semaines à mijoter, à approfondir des noirceurs, à filtrer des fatigues pour voir surgir les chansons du diables, jamais autant de pépites sur un même disque. La fulgurance définitive après laquelle plus rien ne sera comme avant pour eux. Comme s'il avait fallu passer par là pour trouver l'apaisement et l'ouverture sur d'autres carrières. Va quand même falloir un bassiste. C'est chez les prog Family, au bout de huit semaines de travail que le trio allait piocher, Rick Grech. Et là mes frères, une véritable bombe épique et ponctuelle va naitre, surgir des flammes comme jamais. La vraie quintessence du blues rock dans ses formes les plus incandescentes et féminines. Le jeu de Baker est à se tordre, les guitares viscérales, la basse salope et la voix immensément divine.
1969, Polydor et Atlantic se percutent devant cette réunion de titans. Si le bassiste est affublé d'un charisme timide, Baker lui, complètement cinglé prend son rôle puissamment et balance, lors de la tournée qui débute illico, un « Under my thumb » épique qui va foudroyer les milliers de hippies qui se précipitent devant Blind Faith. Il avait en studio, phagocyté l'énorme jazz-rock africain « Do what you like ». Clapton lui montre ses incisives au meilleur de sa forme, tandis que Winwood n'en finit plus de monter aux cieux avec un chant totalement habité. Buddy Holly offre son fantôme injectant à Clapton l'idée lumineuse de greffer un manche de Stratocaster sur un corps de Telecaster, permettant une boucle hypnotique à ses riffs (« Well all right »).
Des prises énormes (la version Deluxe confirme), « Hey Joe » qui split, la planète entière qui s'astique, un quatuor satanique quasiment sexuel, une pochette (les rééditions gardent l’originale) qui dérange mais qui ne sera qu’occasionnellement interdite (contrairement à « Electric Ladyland » la même année), des allusions Christiques (« Presence of the lord »), les mecs sont pompés jusqu'à la moelle pour une autre fatigue, juridique celle-ci. Clapton finira par se réfugier près de Lennon pour sa tournée Toronto et le Plastic Ono Band. Winwood avec sa voix stratosphérique exigera de multiples prises pour un disque quasi live.
Tout ça en quelques mois, un instant unique dans l'histoire du rock, aggloméré compact.
Toutes les chansons de cet album sont des pièces uniques, comme s'il s'agissait d'une compilation. Elles seront d'ailleurs reprises sans cesse pour les sessions live respectives... « Presence of the lord »... « Can't find my way home ».. et « Sea of joy ».. je mets un genou à terre à chaque écoute de celle-ci. Basique, géniale, Am, D, puis E et cassure en A et E pour garder la ligne.... pour la voix, faut demander à Steve de venir chanter. Exactement la musique qui me rend cinglé, à croire
1969, année sextraordinaire, d'une grande richesse culturelle :D..grand cru.
44 commentaires:
Tu te riais de Jimmy qui avait parlé de pochettes avec des corps dévêtus et...;-)
Je connais pas, celui-là, j'attend ton drop. J'aurais choisi Melody Nelson, dans les exemples que tu mets.
Bon, ça va, le thème. Risque de doublons pour ceux qui sont nés la même année ou y aurait pas trop de bonne musique;-)
Moi, je sais pas ce qui est sorti mon année de naissance...ton poldo, en fait : bulles. J'avais justement remarqué ça...mais je l'aime pas. J'espère que y en a pas trop des blogueurs nés dans les synthés des 80s;-)
Erratum : Le Zornophage et wiki disent que c'est en 71 Melody Nelson. Toi, c'est l'année érotique.
1969 ?
Ho putain de bordel de queue de pompe à merde... c'est encore pire que mon 1971 ! Et, pour le coup, le choix d'une pochette controversée et d'un album impeccable (Clapton dans la foulée de Yardbirds et de Cream... avant l'endormissement) impose le respect.
Et je ne m'étendrai pas sur la coquille gainsbourienne, tu as péché, tu expiera. :-p
PS: le Nilsson de 69 était très bon !
Hello.
Tu connais la théorie de la Claptonisation ?
(Si si, elle existe et est sur le point d'être reconnue par la science.)
Bon, à cette époque Clapton n'avait pas encore commencé à se Claptoniser apparemment mais j'ai quand même tendance à trouver ce disque un peu surestimé.
EWG
Comm' vite fait.
Surestimé ou pas, le rock aujourd'hui n'existe pas sans ces mecs là.
Cet album est simplement légendaire.
Il sert de conclusion à une époque qui valorisait le principe de la jam session bluesy issue du blues boom des années 70 et pose au passage le songwriting issu du folk revisité façon british.
Il ouvre des carrières en positionnant des artistes sur leurs carrières respectives à cette époque - des carrières effectivement médiatisées à outrance et qui ont permis à certains soit de revenir lentement mais surement à leurs amours première (Clapton/Blues) - à d'autres de devenir en murissant (Winwood très très jeune) l'un des songwriters compositeurs anglais les plus géniaux et les plus discrets, mais pas sur estimés, mais réellement respectés et estimés de la planète musique...
Ginger est un batteur qui a par la suite été oublié alors qu'il reste avec mith Mitchell l'une des figures de ces temps bénis.
Faire un album de cette trempe n'est pas donné à tout le monde et n'était pas juste le fruit du hasard - il faut juste avant de laisser aller son écoute personnelle et envoyer la critique en tant que telle, penser à se replacer avec recul dans l'époque et le contexte.
A cette époque il n'y avait que peu d'alternatives, l'aurait t'on oublié ?
Le rock a une histoire et cette album en fait juste partie comme étant essentiel au développement de celle ci, comme Sergent Pepper, comme Electric LadylAnd, comme le premier Velvet, comme... pas tant que ça d'autres en ces temps là.
Arrêtez donc de cracher sur Clapton et retournez bosser vos gammes pentatoniques sur son hommage à Robert J.
Un défenseur du blues en ces temps de disette électro surfaite, ça se respecte.
Oui oui c'est 71 Melody :D
C'est clair j'ai pensé à la pochette.. ce disqaue là pourrait aller un peu partout. Il est un sommet 69.
J'avais sorti pas mal de disk 69,n c'est pour ça le Nilsson juste avant.
Bon je change Gainsbarre, ça la fout mal ;D
Dingo quand même la pochette pas plus interdit que cela. Certes elle a changé pour les éditions suivantes, mais les nouvelles rééditions l'ont gardé... et pas Electric Ladyland.
L'histoire de ce disque est dingue.. ça allait très très vite à l'époque, qq mois pour des années maintenant. Du pur jus live.. moi je suis injecté à chaque écoute.
Mercci PAX
Ce qui m'épate c'est la hargne envers Clapton comme si la réussite d'un artiste était quelque part du domaine de l'interdit. Sans lui pas de Marley mania, pas de JJ Cale découverte, pas de Hoochie Coochie Man chante par des myriades de gens à travers le monde. Ne crachons sur un artiste qui mis avant tout la musique en avant la ou certains l'on oubliée pour juste leur image. Et puis trouvez moi un guitariste estampillé rock qui n'use pas en réflexe de ses gimmicks ?
Je n'en suis ni fan ni inconditionnel juste l'espace respect qui s'impose.
Hello.
@PG: merci pour la leçon mais je n'en démords pas.
Merci aussi pour le teasing sur Robert J (voir chez Jimmy).
Je revendique le droit d'écrire des conneries, ça se saurait si le rock c'était sérieux...
Rien n'existerait sans personne, et je suis moi aussi étonné du manque de respect de certains.
EWG
Je pense que Clatpon est aussi libre qu'un Young.. arrivé à un stade de carrière il fait ce qu'il veut et se fout des critiques. On lui reproche beaucoup son accalmie.. mais la maturation c'est comme le bon vin :D
Je le voyais pas faire Derek toute sa vie... y'a juste sa coiffure qui déconne :DD
Je relis mes comms et je n'y vois aucun manque respect juste tenter de remettre les choses à leur place légitime.
Le blog de Charlu n'est pas lieu. Ce jeu dégénère - dommage !
Le rock n'est pas sérieux ?
Merci d'aller expliquer ça à des artistes qui passent des semaines en studio, qui composent des heures et des heures pour un projet et leur démontrer que finalement, ce boulot, cette passion, c'est tout sauf... sérieux !
Même quand je monte sur une scène pour jouer le blues et partager en bonne humeur avec le public d'un pub rock et toute l'imagerie que l'on pense avoir dans ce cas, je le fais le respect, le sérieux et le plaisir de partage. Dans sérieux il n'y pas que la connotation prise de tête - il peut y avoir juste souci de bien faire pour bien donner. Les artistes, même rock sont sérieux - ils croient en ce qu'ils font et encore heureux sinon Jommy n'aurait pas passe tant d'heures en studio pour Electric Ladyland.
Hé be !
Je comprends mieux encore une fois la considération médiocre que nous rencontrons au quotidien avec organisateurs, politiques, etc... si d'emblée des passionnés de rock ne nous considèrent pas eux mêmes comme des gens sérieux.
Pfff...
J'ai appris en lisant des trucs sur Blind Faith que Clapton avait bricoler deux guitares.. un coup de génie pour un effet unique.
Le rock c'est vital.
Bravo, je n'ai pas cet album car les critiques ont eu tendance à insister sur leurs DÉCEPTIONS, une manière d'insister sur l'album qu'ils espéraient. Et du coup j'ai sauté cette période de Clapton.
Et voilà Charlu qui balaie tout ça d'un revers de main.
Pascal qui surenchérit plein de passions qui explique le fossé entre le travail de l'artiste (Il n'y a pas que du talent ou du génie) et le sentiment restitué.
Aparté: Anecdote de Schwarzkopf qui expliquait a une élève que cet air d'une grande tristesse devait être joué avec concentration & travail sans ajouter du sentiment de tristesse perso, ce sentiment c'est le public qui le ressentira.
Pareil pour le Rock: il est nécessaire qu'il traîne avec lui une panoplie de sentiments: Subversion, Nonchalance, Irrespect, fun ... ET tant pis pour le quiproquo.
Fin de l'aparté
J'espère trouver le temps pour écouter Samedi? En te relisant Charlu....
Salut p'tit frère, ouah 1969 la chance, quelle belle année musicale. Moi je l'aime bien cet album en bon fana de blues rock, il représente comme dit Pascal une sorte de tournant, la fin d'une période et le début d'un autrement. Le "Clapton" c'est vraiment curieux que ce soit devenu presque une insulte, un cliché, peut être que simplement il faut lui pardonner de ne pas toujours avoir su s'entourer, se démarquer de sa médiatisation, su se faire produire autrement que comme le roi du monde de la guitare. Après je ne pense pas que beaucoup de guitaristes le dénigrent.
Signé le vieux sage
Bon, là-dessus, j'avoue que Clapton, ce n'est pas trop ma tasse de thé.
En 1969, il y avait surtout le merveilleux premier disque de Nick Drake, le troisième du Velvet, et "Abbey Road" évidemment...
Ben oui... Faut pas confondre "le serieux" et "l'esprit de sérieux" dont Nietzsche disait... quoi au fait? J'sais plus et je m'en fout un peu. Pauvre Louis de Funes... Il aurait bien aimé être considéré comme un grand acteur et pas seulement comme un bouffon... Et Gainsbourg qui pensait n'être qu'un artiste mineur. Ce sont les grands critiques qui ne sont pas sérieux... Michel Contat ne met que deux F au dernier Truffaz alors qu'il en met 4 au Guillaume Perret... Je ne comprends plus rien et je m'égare... Grand disque Charlu... A poils sur la pochette avec un avion dans les mains... Ca ne fait pas sérieux... Franchement!
Bien joué le gamin !Super choix évidemment m^me si je trouve effectivement cet album un tout tout petit peu surestimé à mon goût. Ceci étant, Clapton faut pas déc, c'est lui qui va inventer le british sound (avant Jimmy Page)de la second moitié des 60's.
Sa recette ? une Les Paul et un ampli Marshall, la cuisine ? celle de John Mayall et de son superbe album The Bluesbreakers. L'année ? 1966, tois longues années avant la naissance du p'tit Charlu.
Oui..je vous file ça ce soir.. la version Deluxe..me suis écroulé à 23h59 hier soir :D
Eh j'ai un frangin dans le club..t'as vu Sorg la liste des disk cette année là !!! arrfff que du bon en 69.
Oui Dev..Blind Faith est né d'une déception de ne pas avoir produit des disques parfaits en tant que Cream.. enfin ça c'est la critique qui le dit..moi j'écoute du Cream tranquille sans anicroche. Merci pour l'anecdote, je suis friand.
Oui ma vieille breloque de Rouste :D L'école blues british est un grand moment..John Mayall a quasiment lancé tout le monde. Je trouve qu'on ne le cons idère pas assez bien ce mec maintenant.
Puis y'a Peter Green aussi qui a bien participé au mouvement. Ses chansons sont tellement bouleversante qu'au début (y'a belle lurette) je croyais que c'était que des reprises... c'est lui le blues man. Une carrière comme Barrett, des bombes discographiques et hop la folie.
69... SEXTRAORDINAIRE mon Djim.. même si là ça craint.. mais pas pire que le Holy des Zep ??
Ma Rouste...LES PAUL.. je croyais qu'il y en avait qu'un !!! :DD
Papa.. quelle torture cette année là..lepremier album de Drake à la pochette verte !!! je pourrais faire un blog entier sur 69 (que musique) !! c'est pas donné à tout lemonde une telle année :D
Bah oui Esb.. t'as vu la gueule de l'avion en plus !!! z'en font plus des comme ça pour les mémères...
Ah,Coquin de Charlu, la belle année que voilà!!!
Pour l'album, celui-ci je connaissais mais j'ai jamais adoré. Peut-être qu'une nouvelle écoute...?
Juste pour préciser Blind Faith, c'est pas que Clapton.. y'a un mélange diabolique d'une voix, de percu, d'une basse géniale noyée dans la timidité d'un bassiste et d'un batteur fou. C'est un quatuor puissant sans aucune compromission. C'est peut être pour ça que Blind Faith a splité dès le premier album.. trop indécent .
C'est une belle année 69 .. et en plus je je suis né à Jouy :D
Bordel, monsieur fait les thèmes qui l'arrange visiblement.... D'abord les bulles , maintenant 1969...
Né sous le signe du sex, pas mal mister C!
Eh eh..bientot c'est à toi :D
Né en 69 à Jouy. T'as décroché le pompon!
Hi Charlu,
loin de la maison et pas de temps, ai laissé un message général chez Jimmy
Beau choix.....et belle année!
en 69 j'en avais 19!!!!!!!!!!!!!!
A bientôt
Visiblement tout le monde se régale avec tes thèmes
Pap'sEch
Merci mon Pap's.. figure toi et vous que je fais lire les comm à mon fissot... il est né en 97... quelle année de mm ...y'avait quoi en 97 ???? :D
Oupsss..en 1997..y'a Flaming Pie de Paulo qu'il me dit :D..et j'y suis pour rien.
Le ponpon Sad, c'est clair et en plus entre deux Saints.. st près et st piat !!! c'est sur ma carte d'identité !! tombé dedans à la naissance :D...y'avais "Come Together" à la radio :D... Bah moi aussi je suis un rebel...
En 97, Ok Computer et le premier F. Breut c'est pas rien.
Arrèèèteuhh Esb... Françoiz Breut 97, il est pour moi depuis presque toujours !!! je laisse OK COMPUTER pour la planète... j'ai quand même le droit à Tarifa pour mes utopies nan ??!! ;D
Vas dire ça à mon Fissot..la Breut. Par contre, je lui ai mis dans les mains (imposé ??) le KID A.. eh eh.. et il aime pas Dominuqe A
Moi je suis né à Bur sur Yvette ...
Sinon en 97 j'écoutais toujours One Hot Minute des RHCP sorti deux ans plus tôt.
1997 : Either/or (Elliott Smith) ou
Curtains (Tindersticks)
Je tarde un peu pour la compile, mais j'ai vu que projectobject participait dans les commentaires, donc j'inclus. Je remettrais sans doute les liens vers les compiles précédentes complétées.
PS: d'aucun aurait vraiment du mal à les écouter en entier ou dois-je "la consternation" qu'à un anonyme isolé ?
Tome 3. Pochette Courbet (soft, j'avais pas d'autre idée)
L'Origine (GJSF5-T3 Compil Birthdyear)
Ben ça me fera une découverte. Hé! Oui... jamais écouté. Marci!
Hi rono
Que l qnonyme le reste avec sa ´coństernation
Tu fais un super job
Play it again Charlie !
Fooster
Tu vas voir..c'est chaud bouillant, on a du mal à s'en passer après.
J'a pas tout suivi..j'chu un peu lustucru.. c'est quoi ce truc d'anonyme ?? j'ai loupé un comm qpart ?
Merci en tout cas Rondo pour les compiles .. quel boulot. Je les ai dans l'ordi :D
Allez.. c'est l'heure !! torchons -nous sans plus attendre :D
à la votre les p'tits gars .
Pour cette histoire d'anonyme, je suis tombé sur un comm' chez Jimmy (La souris déglinguée). Je cherchais les participations de projectobject, je sais pas si vous avez vu qu'il postait dans les comm', un peu en décalé, c'est dans les posts à Jimmy. Dans "L'Origine", j'ai mis un titre de son Presley. C'était Kevin Coyne avant, et une compile ("pour en finir avec le travail") pour le protest. J'ai pas modifié mes compiles précédentes (sachant qu'Arewenotmen risque de proposer ses posts la semaine prochaine). Je le ferai peut-être à la fin, s'il y a de la demande. A ce moment-là, je ferais un gros post avec toutes les compiles incomplètes d'un coup (histoire de pas multiplier les liens). Je rajouterai un morceau de Projectobject et de Arewenotmen, là où ça manque. Mais ça devrait concerner que les compiles de cette semaine.
Ah! C'est vraiment bon... Outch!
AU fait, une fois loin des attentes, c'est un bon album. mais je peux partager en tout cas reconstituer la déception ou l'absurdité de l'attente de la part de musiciens peut-être trop adulés?
Et puis 19869 il y avait de la concurrence, donc un bon album n'était pas suffisant j'imagine.
Dis donc Clapton et Layla c'est pas juste après? Tiens, rien que ça!!
Cette pochette m'a toujours très attiré, mais je n'ai jamais écouté ce disque. C'est le moment !
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