lundi 7 novembre 2011

Alain Bashung / L'homme à tète de chou



Il aurait suffit qu'on l'espère ardemment pour qu'il reste dans nos fantasmes artistiques les plus fous. Signalé il y a quelques années, j'avais oublié. Aujourd'hui, la pochette a giflé. La chronique restera dénuée de tout jugement, impossible.. je veux juste invoquer les restes posthumes d'une rencontre mythique, cette affinité indiscutable. Chronique trac, voici juste quelques phrases de Marc Besse annonçant la couleur dans le livret :

« vibrations musicales qui taquinent l'intime ».. « comme un flux physique et cérébral, souterrain, ondulé sur la pulsation de la confidence »..

.. « la danse est violente, amourachée, douloureuse, sex-symbolique.. chic et lubrique, moite et onirique, mêlant clavecins, congas, guitares new-yorkaises, violons et violoncelles évadés d'une musique contemporaine. »

« Bashung revient d'outre tombe, Gainsbourg dans sa bouche ».. "la langue malaxeuse de verbe virtuose et érotisé".. »suite imaginaire et exotique de « L'imprudence » »...

Alain Bashung 2011 « L'homme à tète de chou » label : barclay










3 commentaires:

La Rouge a dit…

Oh! Bordel!!!

La Rouge a dit…

Oh!Merde!!!

charlu a dit…

Quoi ça ??? que passa ???
Tu as écouté entre temps ?? c'est pas terrible ?? c'est top ??
Perso, ça me fou HS..je vais rester coller un moment, même si je connais par coeur... mais peut être que je connaissais pas tant que ça, vu cette nouvelle lumière, ce nouvel angle truffaz/captain beefheart/guitares instictives.... en aparté il s'y était vachement préparé.. très peu de prise il parait. Maîtrise absolue, et surtout osmose totale des deux enchainés.
BIZZZ

Thomas Köner 1993

  La croûte gelée se ramollit, ventre flasque et tiède respiration. Le ciel se charge de l’halènes des Steppes, le silence gronde. Notre ...