Bertrand Boulbar, c'est un peu comme si Julien Baer, Marc Gauvin ou Fred Poulet avait pris la poudre d'escampette pour les USA, la route 66, ou 95 en escapade, des grands espaces viennent s'ajouter, des airs folk comme dans La maison Tellier. De l'est à l'ouest, de la Virginie à la Californie, un journal de bord qui bouffe du bitume. De motel en motel, des flashs en témoignages, de la poussière, des endroits, un esprit en cavale, Bukowski... j'aime aussi.
Yves Simon a aussi traversé l'Atlantique dans les années soixante dix, il en rêvait. Bertrand chante comme lui, le timbre proche, l'âme littéraire, les mots collés au voyage.
Des airs de Nicolas Comment, un cowboy moderne comme Sammy Decoster, ou en plus lointain l'émouvant Jean Bart, viennent percuter cette très belle surprise.
Un grand ciel bleu, des paysages vides et ensoleillés, Stetson, santiags, Ray ban, harmonica .. la guitare dans le dos, des villes fantômes.
Cette traversée solitaire pour explorer le sombre des vague à l'âme, au milieu d'épaves humaines, d'hommes perdus, colle à la peau, on marche auprès de lui, dans ce road movie éblouissant et poétiquement francophone. Un Tarantino hexagonal.
Auprès de tous nos chanteur-compositeur d'ici à la voix gainsbourienne et la pensée endolorie, Bertrand Boulbar vient pour la deuxième fois nous embarquer dans son cinéma à lui, sa fuite amical..un nouveau partenaire de route.
Boulbar 2012 « Motor Hotel, une errance américaine » label : universal
www.boulbar.com
échelle de richter : 8,8
support cd
après 3 écoutes
Entrecroisement des arts, mise en image de chansons, déclics d'inspirations .. Vincent Gravé à mis ses traits sur l'escapade de Bertrand Boulbar. Je peins toujours en musique, je suis affamé de cette coïcidence artistique, envoüté par la connection... voici la leur :
Yves Simon a aussi traversé l'Atlantique dans les années soixante dix, il en rêvait. Bertrand chante comme lui, le timbre proche, l'âme littéraire, les mots collés au voyage.
Des airs de Nicolas Comment, un cowboy moderne comme Sammy Decoster, ou en plus lointain l'émouvant Jean Bart, viennent percuter cette très belle surprise.
Un grand ciel bleu, des paysages vides et ensoleillés, Stetson, santiags, Ray ban, harmonica .. la guitare dans le dos, des villes fantômes.
Cette traversée solitaire pour explorer le sombre des vague à l'âme, au milieu d'épaves humaines, d'hommes perdus, colle à la peau, on marche auprès de lui, dans ce road movie éblouissant et poétiquement francophone. Un Tarantino hexagonal.
Auprès de tous nos chanteur-compositeur d'ici à la voix gainsbourienne et la pensée endolorie, Bertrand Boulbar vient pour la deuxième fois nous embarquer dans son cinéma à lui, sa fuite amical..un nouveau partenaire de route.
Boulbar 2012 « Motor Hotel, une errance américaine » label : universal
www.boulbar.com
échelle de richter : 8,8
support cd
après 3 écoutes
Entrecroisement des arts, mise en image de chansons, déclics d'inspirations .. Vincent Gravé à mis ses traits sur l'escapade de Bertrand Boulbar. Je peins toujours en musique, je suis affamé de cette coïcidence artistique, envoüté par la connection... voici la leur :
Bertrand Boulbar / Vincent Gravé - Motor Hotel... par bb75014
Motor Hotel - Teaser des concerts - Bertrand... par roymusic
De Paquebots en épaves - Bertrand Boulbar -... par roymusic
3 commentaires:
C'est bon ça mon Charlu. Je commande le "Motor Hotel" comme le cd de Sarah Carlier du reste, pour ma médiathèque.
Merci pour ces bonnes bonnes découvertes.
Hein t'as vu !!! super bon. Des fois je mets trop de références, mais pour bien cerner le truc, je voispas autre chose..puis c'est vraiment tout ça Boulbar. J'ai oublié Pierre Bondu aussi, un super mec disparu.
Pas dquoi EL Galinho
Je ne connaissais absolument pas. Découverte et donc, investissement immédiat.
Et les références, ne pas négliger, bien sur, ça aide à accrocher au billet.
Et à la sortie, à découvrir l'artiste.
Merci.
Et bon w end.
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