Pour le coup, ici, il n'y a que des
clichés Noël, des chansons classiques pour cette période
scintillante. A l'aube de sa carrière, la belle Leontyne Price a
sorti son Christmas album, sous la direction d'Herbert Von Karajan
avec le Wiener philharmoniker. Karajan, c'est lui qui l'a découvert
en 58 lors d'une audition au Carnegie Hall.
Autant dire que le sommet, la crème de
ce style est atteint avec cette gorge, une splendeur totale qui
m'emmène directement vers mon enfance, lorsque mon grand-père
ténor, mettait du classique est des grandes voix lyrique. Celle-ci
est soprano, avec un timbre particulier, solide, sombre, comme une
basse veloutée. C'est le début pour elle, une récréation avant
Verdi. Que du classique.
Cet album est réapparu dans les bacs
il y a quelques jours, j'ai le lyrique dans le cerveau pavlov, ça me
fait bizarre, je suis partagé et c'est beau quoiqu'il arrive,
poignant.. et puis juste pour un soir, une voix, des chants, dans
l'air ambiant.
Bonnes fêtes à tous....
Je vous embrasse.
Leontyne Price 1961 « Christmas
with Leontyne Price » label : decca
8 commentaires:
Joyeuses Fête Charlu! Plein de d'amour avec ta famille et de joies. xx
moi itoo, j'ai du mal.. juste pour un soir en famille. Elle a une grosse discographie à fouiller.
Biz à vous deux :D
Joyeuses Fêtes mon Charlu.
BIZZZZZ
C'est clair p'tite boite..mais c'est pour compenser avec Mark McGuire .. eh..manquerait plus qu'on bouffe de la dinde avec, pire du foie gras et de la buche :D..merci à toi..bonnes fètes et toi aussi Pap's..te bizrai en mail ;D
Bon Noël Charlu...
Profite bien en famille et amis.
Encore une fois un choix superbe...
A +
Joyeux Noël notre Charlu tout tendre et tout rigolo, j't'aimons bien not' mascotte de Beauce!
Eh eh Pax, je savais que tu allais aimer :D
T'kiffions grave aussi l'Orfi d'Beauce..te biz comme la bise... merdouill, j'chais pas si c'est bien glorieux "kiffions", mais c'est sincère :D
Ho yes, et ce physique. Je sais on ne doit pas juger sur le physique, mais moi j'ai le droit, si c'est pas un argument ça.
Je la connais chez Verdi. Et j'y reviens, ce physique qui transforme l'Opéra comme une histoire vécue, tu en es le témoin privilégié, sur un monde parallèle où l'on pense en parlant et l'on parle en chantant... Karajan? Tu m'auras donc appris que le monsieur est tombé sous ce charme qui l’éloignait des Chevaliers à la Rose
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