mardi 13 décembre 2011

Huile sur toile Décembre 2011 (15F)






Roy Harper 2011 "Songs of love and loss" label : salvo



6 commentaires:

Vers du Silence a dit…

Ton abstraction est un poème grisonnant comme la chevelure d'un vieux marin mélancolique.
Merci pour ces toiles qui me mettent la tête dans les étoiles...

cabinoffear a dit…

Magnifique comme d’habitude... Je suis admiratif voir même un peu jaloux...

J'ose a peine imaginer ce que tu peux faire en écoutant le coffret Cash...

La Rouge a dit…

On vient de fermer la lumière, c'est quasi le chien-loup ma fois. D'une beauté éteinte et métallique.

charlu a dit…

Ouurrrfff, j'ai des frissons..je me suis effectivement éteint et laissé flotter mes teintes "habituelles".... La mélancolie est un vieux marin à chevelure grisonnante..j'aime beaucoup !!! y'a souvent du monde dans mes paysages, mais on ne les voit pas. QQ fantomes.

Eh du Cash en croute... un défit Toorsh !!! il va falloir que j'achète un chassis vierge plus grand que d'habitude.... du vaste, de la liberté...

BIZZ à tous

Unknown a dit…

Hello Charlu,
La peinture, la musique, les mots. Cela me fait penser à cette très belle phrase de Marc-Edouard Nabe (écrivain, peintre et musicien): "On me comprendra le jour ou l'on aura compris que j'essaye de peindre la musique des mots" (Désolé, je cite de mémoire).
Jimmy

charlu a dit…

superbe cette maxime artistique... je mets les musiques que j'écoute en peignant depuis peu sur les conseils de Francky.. je fonctionne vraiment comme ça. L'inverse est vrai aussi, des mots viennent sur des couleurs, des paysages, des textes. Dominique A deopuis longtemps oeuvre pour faire partager le croisement des arts en général, tout support.. nouvelles, BD, chanson... et vice et versa. Les déclics sont très important, ils dissèquent et diagnostiquent. Ils justifient. Roy Harper a innondé Sand.... les relations aussi déclenchent, je te promets la lune .. un jour.

Clogs 2003

  Près du Butin ensablé, la Seine s’emmanche. Du laiteux mou s’engouffre dans l’albâtre. La Manche n‘a que faire de l’océan, ici le bras l&...