Un Léo pour torcher le dimanche. Un qu'est pas dans les tablettes coutumières, un juste avant le blanc tonique et populaire de 68. Léo 67 qui boxe la Marseillaise, ceux qu'ont le périscope dans les trous de nez. Arrête les cuivres merde, ramène moi l'accordéon. Puis « Ils ont voté », le jazz-pop « On est pas des Saints »... le lyrique « Les gares et les ports » l'émouvant « Quartier Latin »... puis « C'est un air »..et en fait aucun morceau à écarter. Et si j'avais à choisir un Léo, outre « Amour anarchie », je prendrais celui-là.
Jimmy balance la chair de poule sur « La violence et l'ennui », moi la mélancolie noire d'une agonie dominicale avec « Léo 67 ».
Pochette inhabituelle en singerie douteuse, rugit-il ou s'esclaffe-t-il ??, superbe en tout cas.
Léo Ferré 1967 « léo ferré » label : barclay.
www.leo-ferre.com
échelle de richter : 9
support vinyl
après 1000 écoutes
Jimmy balance la chair de poule sur « La violence et l'ennui », moi la mélancolie noire d'une agonie dominicale avec « Léo 67 ».
Pochette inhabituelle en singerie douteuse, rugit-il ou s'esclaffe-t-il ??, superbe en tout cas.
Léo Ferré 1967 « léo ferré » label : barclay.
www.leo-ferre.com
échelle de richter : 9
support vinyl
après 1000 écoutes
2 commentaires:
Bonjour Charlu,
tu fais bien le lien avec Jimmy, effectivement, avec une période plus ancienne mais toute aussi excitante.
C'est un grand disque de Léo : merci à toi.
Yom
j'ai un petit faible pour cette période Barclay. Pas trop le disque blanc 68, mais avant et après. On dirait des compiles tellement y'a rien à jeter. A chaque fois que je me ballade à Boulmich, je fredonne "quartier latin".... Beaucoup de ma vie dans ce disque ...
Biz Yom
Enregistrer un commentaire