Sans le fil conducteur des maisons de
disques que je file affamé pour ne rien laisser au hasard, je ne
serais jamais tombé sur « Sweet Bunch ».
Certaines plus que d'autres, c'est la
belle auberge Spacebomb de Matthew E.White qui m'a conduit vers Andy
Jenkins. De qualité ici il y a beaucoup de choses dont la belle
production qui habille impeccablement ses chansons pop, quelques part
entre Adam Green, Father John Misty et Peter Von Poelh. « Curve
of love », « Song for me », « Hazel woods »..
autant de balades de crooner folk qui chante un automne pop troublant
de chaleur.
Après Nathalie Prass, Bedouine et
Matthew E.White lui-même, un petit gars vachement sympa avec un bon
disque qui tient la route abrité par Spacebomb, collectif outre-Atlantique au fidèle design de pochette.
Andy Jenkins 2018 « Sweet Bunch »
label : spacebomb
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