lundi 11 juillet 2011

Morphine







Am, Am7 D..... sur la rythmique de Michael Jackson. Juste un poil plus rapide.. « sister morphine » sur « morphine ».
Marianne Faithfull était avec Jagger à l'époque, 1970. Keith Richards lit à travers cette superbe chanson ramenée par Mike, l'influence notable de Marianne. Jagger écrivais rarement les paroles et la musique. La morphine, cet aide aux cures de désintox. Il n'empêche, elle est un moment crucial de « Sticky finger ».
1997, autre artiste planétaire, autre date pour une autre génération, autre dope, l'équivalent médicamenteuse de la coke de Keith Richards. Jackson, c'est les médocs, période d'accoutumance irréversible dont on connais l'aboutissement. Le même aboutissement qu'Elvis, et pourtant Jackson s'était promis de ne pas finir comme lui.

Deux chansons sur le même thème, les addictions palliatives sévères, l'anti-douleur universel. Prescription pour star. « sister morphine » pour moi, « morphine » pour charlot. On en parle tous les deux, on partage, on échange, j'aime bien.

Rolling Stones 1970 « Sticky finger » : « sister morphine »
Michael Jackson 1997 « History » : « morphine ».























Aucun commentaire:

Manic Street Preachers - 2004

  En couple les oiseaux, ça sautille sec sur la parcelle fraîchement fauchée. J'ai toujours eu horreur des couples qui vont faire leu...