mardi 12 juillet 2011

Huile sur toile juin 2011 60x60





Juste qq rappels pour rendre la toile "cliquable". Diffusion une à la fois seulement.



6 commentaires:

Francky 01 a dit…

MAGNIFIQUE cette toile ! Les couleurs rouges utilisées la rendent incroyablement facinante.

A + +

charlu a dit…

Merci Francky... j'apprends à utiliser les outils blog. pour les aggrandir faut les diffuser une par une.
Oui le rouge jusqu'ici timide sur ma palette à explosé dans moncerveau. J'aurais mis le temps. Ceci dit, merci beaucoup pour ta fidélité et tes compliments.
Je viens de voir tes pochettes fish eyes; sont vraiment top tes billets synthèses.

charlu a dit…

Le grand carnage... après le grand incendie ..

c'est exactement le jus de tes mots qui me viennent après: "transgresser le silence, remplir, abandonner l'agitation qui nous habite le ventre".

Francky 01 a dit…

Tu n'utilisais donc pas beaucoup le rouge avant. C'est une couleur très intéressante je trouve,très intense.
Toi qui aimes bien mes posts de pochettes de disques, j'en ai publié un nouveau aujourd'hui sur la mer, les vagues, le bleu.....
J'ai en stock pas mal de futurs posts "pochette" dont un sur une variation autours de tableau abstraits.

En parlant d'abstraction, est-ce que cela t'attire en peinture ?? Le travail plastique sur la matière, l'epaisseur, etc....

A +

charlu a dit…

Frank' oui j'ai même été obligé de passer mes tubes de rouge sous l'eau chaude pour dégriper le bouchon ... trop accroc au cobalt et à l'ocre, je me suis noyé dans un systématisme aveugle.J'attendais le moment, où il fallait que je remette pas mal de choses à zéro... le moment où LaRouge est apparue.
Un jour peut être la matière en camailleu/patchwork ?? pour l'instant j'observe;

Red: garder la cadence c'est moncauchemare, glander est une punition, j'ai beau m'imposer des périodes de break comme ressource..mais j'ai peur du vide et de cicatriser. J'aime trop laplaie quand elle est encore chaude et suintante.
Noir dès c'est fini, cette chanson est sortie un 11 sept, un peu comme je peints sur tes mots que je n'ai pas encore lu.

charlu a dit…

Salir son cerveau, son art.. aller chercher au fond des entrailles, disséquer, helter skelter par le plus docile des artistes, un point culminant, bousculer et remuer..attendre, observer, prendre et tout redonner complètement vidé et effrayé.

Thomas Köner 1993

  La croûte gelée se ramollit, ventre flasque et tiède respiration. Le ciel se charge de l’halènes des Steppes, le silence gronde. Notre ...