jeudi 27 septembre 2018

Andy Jenkins



Sans le fil conducteur des maisons de disques que je file affamé pour ne rien laisser au hasard, je ne serais jamais tombé sur « Sweet Bunch ».
Certaines plus que d'autres, c'est la belle auberge Spacebomb de Matthew E.White qui m'a conduit vers Andy Jenkins. De qualité ici il y a beaucoup de choses dont la belle production qui habille impeccablement ses chansons pop, quelques part entre Adam Green, Father John Misty et Peter Von Poelh. « Curve of love », « Song for me », « Hazel woods ».. autant de balades de crooner folk qui chante un automne pop troublant de chaleur.
Après Nathalie Prass, Bedouine et Matthew E.White lui-même, un petit gars vachement sympa avec un bon disque qui tient la route abrité par Spacebomb, collectif outre-Atlantique au fidèle design de pochette.



Andy Jenkins 2018 « Sweet Bunch » label : spacebomb



Aucun commentaire:

Manic Street Preachers - 2004

  En couple les oiseaux, ça sautille sec sur la parcelle fraîchement fauchée. J'ai toujours eu horreur des couples qui vont faire leu...