Un nouveau coup de tonnerre 70's vient aggraver ma tendance actuelle. Décidément, ce son m'injecte une transe, me colle à la peau. A l'écoute de « Between the times and the tides », j'ai l'impression de déguster un bon Fleetwood Mac période « Bare trees » ou « Future game », aussi bien pour le son que pour la voix, avec évidemment en plus la touche Sonic Youth en bonus.
Lee Ranaldo, comme pour fuir la déchirure du divorce d'un mythe et d'un couple, lâche un album de rock bitume éclatant et méchamment bon. Une basse embraye tonique et avale les kilomètres, cool et à grande vitesse.
« fire islands (phases) » comme l'indique le titre est un brûlot de blues-pop-rock-rider-jam-prog...morceau déphasé épique qui entame la face B comme on a rarement vu depuis cette décennie là. Seul petit hic, l'album s'essouffle un poil juste après ce sommet ample et psychédélique. Ou alors c'est moi, je suis resté collé comme une mouche sur le scotch marron 70's à glu.
Pochette sobre, en noir et blanc mate, à l'intérieur des clichés instantanés de l'enregistrement sur carton glacé, comme dans beaucoup de bons disques rock de l'époque.
Lee Ranaldo, comme pour fuir la déchirure du divorce d'un mythe et d'un couple, lâche un album de rock bitume éclatant et méchamment bon. Une basse embraye tonique et avale les kilomètres, cool et à grande vitesse.
« fire islands (phases) » comme l'indique le titre est un brûlot de blues-pop-rock-rider-jam-prog...morceau déphasé épique qui entame la face B comme on a rarement vu depuis cette décennie là. Seul petit hic, l'album s'essouffle un poil juste après ce sommet ample et psychédélique. Ou alors c'est moi, je suis resté collé comme une mouche sur le scotch marron 70's à glu.
Pochette sobre, en noir et blanc mate, à l'intérieur des clichés instantanés de l'enregistrement sur carton glacé, comme dans beaucoup de bons disques rock de l'époque.
Lee Ranaldo 2012 « Between the times and the tides » label : matador
échelle de richter : 7,2
support cd
après 3 écoutes
http://www.leeranaldo.com/
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