Transition idéale pour parler de la tuerie 2010 de Tom Petty.
Sur la pochette, comme une affiche de cinéma, un gang, des baroudeurs prêts à tous les casses possibles. Ils viennent de le faire le casse. Les Heartbreakers viennent de balancer une dragée à pas mal de disques présents dans les bacs depuis quelques décennies. « Mojo » est un brûlot irradiant qui alterne Reggae (« don't pull me over »), Rock (« high in the morning »), hard (« i should have known it »), pop, folk (« us »), balade (« the trip to pirate's cove ») et blues (« jefferson jericho », « taking my time »..).
Les mecs autour de Petty sont très bons, Mike Campbell aux manettes et ils balancent la purée. Sa voix proche de Bob Dylan (« Candy ») change à chaque morceau.
Il faut une bonne chaîne bien chaude en basse pour retranscrire le jus, ainsi « runnning man’s bible » est devenu une drogue pour la mienne, le matin avant de décoller et d'affronter la cohue.
« first flash of freedom » ressemble à du Cream, et le final « good enough » une balade colossale sur les chemins de Gary Moore qui vient de disparaître.
Un disque bien au dessus de sa discographie.
Tom Petty and the Heartbreakers 2010 « Mojo » label : reprise
Sur la pochette, comme une affiche de cinéma, un gang, des baroudeurs prêts à tous les casses possibles. Ils viennent de le faire le casse. Les Heartbreakers viennent de balancer une dragée à pas mal de disques présents dans les bacs depuis quelques décennies. « Mojo » est un brûlot irradiant qui alterne Reggae (« don't pull me over »), Rock (« high in the morning »), hard (« i should have known it »), pop, folk (« us »), balade (« the trip to pirate's cove ») et blues (« jefferson jericho », « taking my time »..).
Les mecs autour de Petty sont très bons, Mike Campbell aux manettes et ils balancent la purée. Sa voix proche de Bob Dylan (« Candy ») change à chaque morceau.
Il faut une bonne chaîne bien chaude en basse pour retranscrire le jus, ainsi « runnning man’s bible » est devenu une drogue pour la mienne, le matin avant de décoller et d'affronter la cohue.
« first flash of freedom » ressemble à du Cream, et le final « good enough » une balade colossale sur les chemins de Gary Moore qui vient de disparaître.
Un disque bien au dessus de sa discographie.
Tom Petty and the Heartbreakers 2010 « Mojo » label : reprise
échelle de richter :8
support :location
après 5 écoutes.
Quand on aime : eric clapton (période 461 bd ocean), bob dylan, jj cale, cream, gary moore, peter green, john mayall
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