Sortie d'outre tombe, le flamenco
macabre de Jason Molina pleure sur un Ep perdu dans les ténèbres.
Aussi sombre que « Ghost Tropic »,
« Travels in Constants » commence comme le
finish de « Oh well ». Seul comme jamais cette
pièce unique de Songs:Ohia arrache les tripes. Blues mortifère,
folk slow core qui prend à la gorge, il faut attendre le crépuscule
pour se laisser dévorrer par ces deux morceaux … ne pas lâcher
l'idée du noir.
Songs:Ohia 2001 « Travels in
Constants » label : temporary residence
1 commentaire:
Je prends mais je ne vais pas l'écouter maintenant. Tu le dis si bien, que je décide de suivre le conseil.
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