Pas assez discipliné pour un bilan, ni
rigoureux, car voilà, j'ai le projecteur en branle avec du retard
sur un album qui vient se caler juste dans le tiercé des plus beaux
auteurs de par ici. Évidemment Jean-Louis Murat en tète, les autres
viennent se placer derrière, à distance. Il y a bien eu Barbagallo,
mais plus sur une chanson, Christophe superbe mais vite digéré,
Biolay constant dans les quintés, celui qui prononce La Femme jui
pète les rotules, Jean Gasc, Le Vilars, Manset mon immense
déception.... et Nicolas Michaux qui avec ses airs
Boogaerts/Dominique A/JP Nataf dessinant ses saynètes de talent
vient foutre le désordre dans ce bilan bordélique.
Le son, les textes, la mélodie et puis
Tôt Ou Tard, « Les îles désertes », le sublime « Être
deux » et même ses mimiques Bruel sur « Avec vous »
m'accaparent, jamais l'autre ne chantera une chanson aussi belle.
C'est qui c'est quoi ce Nico là ? C'est pas un imposteur, « A
la vie à la mort » soudainement un des meilleurs album d'ici
de l'année précédente.
Qu'est ce que c'est bon d'être deux,
seul, peinard avec un bon disque.
Nicolas Michaux 2016 « A la vie à
la mort » label : Tôt Ou Tard
2 commentaires:
suis à la bourre mais ça va tomber bientôt. Ce disque est un régal.
"Qu'est ce que c'est bon d'être deux, seul, peinard avec un bon disque." Tu me fais penser à une phrase terrible de Léo Ferré. Mais bon, parfois, même un disque... mais voyons voir (superbe Jason Sharp)
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