mercredi 26 avril 2017

Rodolphe Burger 2017




Un blues hexagonal ambiant résonne dans l’air du temps, grave comme le timbre de Burger, un gris pétrole sur des regards fuyants, du venin alentours et des envies en miettes, des lubies en lambeaux, on tourne en rond et ne respire plus. La légèreté dans les godasses.

La planète endolorie flotte dans le noir limpide, on se fane et s’assèche. Toutes les forces s’amenuisent.

Jamais je n’ai trouvé un album de Rodolphe Burger aussi beau.


Rodolphe Burger 2017 « Good » label : dernière bande



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