Mme Pastel, Blake, Hopblog (chips et rosé) et Rodg ont une influence 80's indéniable sur mes écoutes. Aussi, ils sont beaucoup plus perspicaces sur l'actualité musicale qui subit un revival eighties manifeste depuis que les Stroke en ont remis une couche il y a 10 ans, aussi, je lis et j'écoute.
Warpaint du côté de Mme Pastel, Twin Shadow chez Blake, Violens chez chipsetrose, je prends et j'ingère à la façon d'un Rodg qui m'a insufflé les bases il y a quelques années (Wire, Joy Division, Xtc, The resident, Oingo boingo, the love and the rockets...). Ceci dit, même si à cette époque, je gardais une œil affamé rivé sur les 70's, j'écoutais avec du recul et j'y retourne maintenant que le son me paraît meilleur.
Complètement à côté de l'époque je tentais vainement quelques actualités . Aussi, « Dreamtime » des Stranglers (pourquoi celui-là est mon préféré du groupe ?), « Be yourself » ou même « Revenge » d'Eurythmics, « Afterburner » des ZZ Top, « Communards » en 1986 et qui est remonté à la surface il y a deux ans avec Antony en habit d'Hercule, ou encore Talk Talk, et surtout « Diesel and dust » de Midnight Oil, étaient les rares galettes à me donner satisfaction.
Warpaint du côté de Mme Pastel, Twin Shadow chez Blake, Violens chez chipsetrose, je prends et j'ingère à la façon d'un Rodg qui m'a insufflé les bases il y a quelques années (Wire, Joy Division, Xtc, The resident, Oingo boingo, the love and the rockets...). Ceci dit, même si à cette époque, je gardais une œil affamé rivé sur les 70's, j'écoutais avec du recul et j'y retourne maintenant que le son me paraît meilleur.
Complètement à côté de l'époque je tentais vainement quelques actualités . Aussi, « Dreamtime » des Stranglers (pourquoi celui-là est mon préféré du groupe ?), « Be yourself » ou même « Revenge » d'Eurythmics, « Afterburner » des ZZ Top, « Communards » en 1986 et qui est remonté à la surface il y a deux ans avec Antony en habit d'Hercule, ou encore Talk Talk, et surtout « Diesel and dust » de Midnight Oil, étaient les rares galettes à me donner satisfaction.
Warpaint ("the fool"), une fille de plus que les Au Revoir Simone et les guitares sont très hautes, vaporeuses, les voix superposées collent exactement au son très proche de Piano Magic. 7,5/10
Twin Shadow ("forget") après un départ difficile (« tyrant destroyed ») régale dès « We were dancing », batterie, basse, claviers, tout rappelle cette époque cold synthétique. On est proche d'Ariel Pink, Neon neon sur Lex records, Frantic pour les groupes récents, mais aussi Echo& the bunymen, xtc pour jadis. Un disque que j'écoute en boucle sans en être bavard. 7/10
Violens ("amoral") quant à lui, est assez insupportable, une grosse bouillie sonore (un peu comme le visage de la pochette) mêlant du très mauvais U2, du New Order en recherche d'inspiration et du Lotus Eaters bruyant. Un gros cliché bien gras et inutile. 3/10
Tamaryn ("the waves") mélange son esprit 80's avec des guitares 90's (froides comme Gérard Manset à l'époque de « lumière ») comme les précurseurs Lush sur une base Joy Division et une voix Mazzy Star. Le shoegazing s'étend à l'infini élargissant les lumières et les paysages. « Dawing » est un sommet et rappelle aussi les mondes sombres de Piano Magic. 7/10
Zola Jesus ("stridulumII") m'avait fâchée avec son "The spoils" allergisant et rêche. Avec « Stridulum II », la réconciliation n'est pas loin, mais il faudra encore que je passe outre cette monotonie vocale et ce cliché cold-goth faussement planant. 5/10
(« New chain ») des Small Black est passé chez mon disquaire du boulevard Saint Michel pendant une séance de fouille goulue habituelle. Euhh...un autre cliché qui fait tâche sur le label Jagjaguwar, presque aussi insupportable que Violens et encore plus synthétique et systématique. 2/10
Enfin, The Cavalcade avec le précieux et rare (dans les bacs) « many moons » reste peut être le petit instant de magie. Une boite à rythme, une guitare qui a le trac, un synthé rétro à la Kim et des compo à peine croyables de fragilité à tel point qu'on les croirait fausses (« no strength »). La gémellité avec Shack des début (et donc The pale fountains ) m'est apparue évidente dès les premières notes. 8/10
Bon, y'a encore du boulot, va falloir que je bosse à fond, que j'approfondisse, en attendant, je vais aller chercher les 80's dans les ondes 70's de « before today », le dernier Ariel Pink. Et puis pour la pertinence des repères, et des analyses moins faussés, il y a mes amis bloggeuse et blogger (les récurents souvenirs 80's de Blake notamment).