lundi 9 mars 2015

Luce



 
Deux chemins s'entrecroisent. Mathieu le drain vers Luce. Cet album m'a embarqué dans la fraîcheur guillerette. Absolument impossible de ne pas être séduit. Impact idéal, le ludique de lui pour Luce, le pétillant à elle en bogue qui pique à peine en douceur pour la muse de la plume qui se lâche. C'est toujours une belle écriture Mathieu.
C'est impossible de ne pas sourire, de ne pas craquer sur cette fusion de poésie primesautière maquillée d'une voix affriolante.

 
Elle est coquin, espiègle, elle est chaud et chou.. Luce est craquant.
 

Mathieu ? j'écoute « Super » et « Michel » en boucle, l'opus 2012 était super aussi, même si quelques chansons pour moi, c'est pas pour lui, trop verte. Il a trouvé son elle à dire, elle son lui à soupir, c'est l'essence même d'une telle collaboration. J'ai le septique en berne, balayé par cette fraîcheur insolente, j'écoute cette délicieuse petite friandise acidulée à croquer à tout age, sucré et enrobé, juste parce que dans l'air, c'est le printemps. Même pas besoin de dire que j'écoute Luce parce que j'aime beaucoup Boogaerts, ce fut juste le drain le Mathieu, et la Luce incendiaire qui fouille les cranes et chante comme le merle réveillé autour de mon parasol arc-en-ciel fraîchement sortie de sa grotte.




Luce 2015 « Chaud » label : tôt ou tard

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