Deux chemins s'entrecroisent. Mathieu
le drain vers Luce. Cet album m'a embarqué dans la fraîcheur
guillerette. Absolument impossible de ne pas être séduit. Impact
idéal, le ludique de lui pour Luce, le pétillant à elle en bogue
qui pique à peine en douceur pour la muse de la plume qui se lâche. C'est toujours une belle écriture Mathieu.
C'est impossible de ne pas sourire, de ne pas craquer sur cette
fusion de poésie primesautière maquillée d'une voix affriolante.
Elle est coquin, espiègle, elle est
chaud et chou.. Luce est craquant.
Mathieu ? j'écoute « Super »
et « Michel » en boucle, l'opus 2012 était super aussi,
même si quelques chansons pour moi, c'est pas pour lui, trop verte. Il a trouvé
son elle à dire, elle son lui à soupir, c'est l'essence même d'une
telle collaboration. J'ai le septique en berne, balayé par cette
fraîcheur insolente, j'écoute cette délicieuse petite friandise
acidulée à croquer à tout age, sucré et enrobé, juste parce que
dans l'air, c'est le printemps. Même pas besoin de dire que j'écoute
Luce parce que j'aime beaucoup Boogaerts, ce fut juste le drain le
Mathieu, et la Luce incendiaire qui fouille les cranes et chante
comme le merle réveillé autour de mon parasol arc-en-ciel
fraîchement sortie de sa grotte.
Luce 2015 « Chaud » label :
tôt ou tard
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