Un requiem hexagonal en album vert, négatif fauve. Ferré au sommet, l'après pop zoo, avec du récitatif, un morceau fleuve, « il n'y a plus rien » provenant d'un projet cinématographique. Fini la pop, du philharmonique qui ne le lâchera plus, il chante, gueule et parle avec ses thèmes de prédilection : l'oppression, la solitude, les putes et la mort. « Préface », le premier slam de l'histoire ??
Complètement essoufflé par les chef d'œuvre du double « Amour anarchie » et l'explosion « La solitude », il est bon de se réfugier historiquement et convalescent, histoire de soigner une gueule de bois d'un tronc de cent ans d'age, dans les méandres sombres d' « Il n'y a plus rien ». « l'oppression » analgésique dans les veines à se laisser tanguer par la houle des violons comme sur « les étrangers ».
« Des problèmes de mélancolie »...., retour à Caussimon. Un album reculé après les paillettes, une transition. Un monument.
« si les copains cassaient leur âme à tant presser le citron de la nuit dans les brumes pernod.... »
Léo Ferré 1972 « Il n'ya plus rien » label :Blaclay
Complètement essoufflé par les chef d'œuvre du double « Amour anarchie » et l'explosion « La solitude », il est bon de se réfugier historiquement et convalescent, histoire de soigner une gueule de bois d'un tronc de cent ans d'age, dans les méandres sombres d' « Il n'y a plus rien ». « l'oppression » analgésique dans les veines à se laisser tanguer par la houle des violons comme sur « les étrangers ».
« Des problèmes de mélancolie »...., retour à Caussimon. Un album reculé après les paillettes, une transition. Un monument.
« si les copains cassaient leur âme à tant presser le citron de la nuit dans les brumes pernod.... »
Léo Ferré 1972 « Il n'ya plus rien » label :Blaclay
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