mardi 7 juin 2016

Joe Bonamassa 2016




Absolument rien d'autre que ça en boucle, un volume suffoquant, en intraveineuse, en pilule d'extase énergie, encapsulé à s'en ravager les oreilles, le crane en bogue, la queue en vibrion, pour avancer sans y penser, comme un bélier.

Joe Bonamassa 2016 « Blues of desperation » label : J&R Adventures

7 commentaires:

DevantF a dit…

Ha ha ha... on se calme... Non, je déconne, la chronique est courte mais vaillante dis donc!!

charlu a dit…

Yes Dev, pas une minute en ce moment, suis ds le tourbillons des galères de transports.. du coup je me fouts ça à fond en boucle..mon red bull. Monumental, le jeu et le son.

cabinoffear a dit…

Du lourd j'ai parcourue ça à la Fnac près du taf' et mazette ça envoie du gras!

charlu a dit…

dis à sadayadlajoiedanslair de guetter la box Tman..ça devrait tomber avant demain soir ;D
rhhooo, les peu de casques qu'il restent à la fnac sont bouffés par les pannes.. pis c'est le coup de rester coller dans la boutique "darty bis" au moins 1h :D Je sais pas ce qu'ils attendent pour faire dégustation de café des cafetières qu'ils vendent.
Ceci dit, ce blues of desperation m'a ravagé le bulbe.

DevantF a dit…

... et c'est assez varié, pas toujours si gras... rien que "drive". Lentement mais sûrement il élargie sa palette musicale en restant tout de même outre atlantique.

DevantF a dit…

J'ajoute qu'avec le retour d'un peu de chaleur... Tite bière bien fraîche et Bonamassa!!

charlu a dit…

Génial "Drive".. c'est la truc des disk de blues.. deux ou trois down tempo, histoire de calmer le jeu.
Allez.. bim, pour moi c'est Chimay bleue ;D

Thomas Köner 1993

  La croûte gelée se ramollit, ventre flasque et tiède respiration. Le ciel se charge de l’halènes des Steppes, le silence gronde. Notre ...