Absolument rien d'autre que ça en
boucle, un volume suffoquant, en intraveineuse, en pilule d'extase
énergie, encapsulé à s'en ravager les oreilles, le crane en bogue, la queue en vibrion, pour
avancer sans y penser, comme un bélier.
Joe Bonamassa 2016 « Blues of
desperation » label : J&R Adventures
7 commentaires:
Ha ha ha... on se calme... Non, je déconne, la chronique est courte mais vaillante dis donc!!
Yes Dev, pas une minute en ce moment, suis ds le tourbillons des galères de transports.. du coup je me fouts ça à fond en boucle..mon red bull. Monumental, le jeu et le son.
Du lourd j'ai parcourue ça à la Fnac près du taf' et mazette ça envoie du gras!
dis à sadayadlajoiedanslair de guetter la box Tman..ça devrait tomber avant demain soir ;D
rhhooo, les peu de casques qu'il restent à la fnac sont bouffés par les pannes.. pis c'est le coup de rester coller dans la boutique "darty bis" au moins 1h :D Je sais pas ce qu'ils attendent pour faire dégustation de café des cafetières qu'ils vendent.
Ceci dit, ce blues of desperation m'a ravagé le bulbe.
... et c'est assez varié, pas toujours si gras... rien que "drive". Lentement mais sûrement il élargie sa palette musicale en restant tout de même outre atlantique.
J'ajoute qu'avec le retour d'un peu de chaleur... Tite bière bien fraîche et Bonamassa!!
Génial "Drive".. c'est la truc des disk de blues.. deux ou trois down tempo, histoire de calmer le jeu.
Allez.. bim, pour moi c'est Chimay bleue ;D
Enregistrer un commentaire