samedi 25 septembre 2010

Jeremy Kelly


Dans la pure tradition weird-folk, l'unique album éponyme de Jeremy Kelly enchaine des plages habitées, tantôt sur un drone mystique, tantôt sur un figer-picking aérien complètement foudroyé par les cymbales de Pompéi, « Blood of the Cauldron makers », dantesque morceau nous téléportant sur les terre de « Oh Well » des Fleetwood Mac s'il avait été enregistré dans les arènes du même nom. Ce country/blues confortablement emmitouflé chez Digitalis se faufile au fond des mêmes vallées que Six Organs of Admittance, Jack Rose, Glenn Jones, Pink Floyd période More.

Jeremy Kelly 2007 « jeremy kelly » label : digitalis industries
quand on aime : six organs of admittance; glenn jones; more; jack rose

Aucun commentaire:

Thomas Köner 1993

  La croûte gelée se ramollit, ventre flasque et tiède respiration. Le ciel se charge de l’halènes des Steppes, le silence gronde. Notre ...