Country alternative du Vermont. Je commence direct technique car cet album me tombe dessus et je n'ai rien sous les dents qui puisse mettre en herbe cette petite dinguerie. Avec le bouquin de Luke Haines, je me suis un peu enlisé dans ses délires avec l'impression d'avoir visité une secte, allant jusqu'à écouter ses arborescences musicales, notamment Peter Buck etc. Je change d'air, sorti de tout ce « bancal » foutraque radical et narcissique, Greg Freeman chante son « Burnover », il m'a ouvert les portes donnant sur un ciel éclatant, populaire avec beaucoup d'air à respirer.
Comme c'est une découverte, je cherche et farfouille et tombe sur son premier et précédent album qui me plaît plus encore. Je plonge dans ma came Oldham-Lytle-Sparklehorse-etc-etc avec du Molina dedans.
Je reviens sur « Rome, New York » et je vais me nettoyer les enceintes avec ce rock outre-atlantique pêchu comme il faut, tendre comme il fait tiède, De Marco, Kurt Vile, Kevin Morby… à ranger avec.
Fait un peu chaud finalement, les glands tombent mais pas les marrons, je sais pas pourquoi je dis ça, y'a plus de calendrier, mais je vois quand même à peu prêt où on en est avec tout ce merdier. « Curtain » m'enchante, et je vous laisse sur « Gone... ».
Greg Freeman 2025 « Burnover »
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