Une branche de platine posée sur le rondin d’un arbre scié net ; une mine de critérium 0.5mm parcourant le sillon d’une emprunte digitale ; le dard d’un moustique glissant sur le fil d’une toile d’araignée d’une trentaine de mailles ; tout me ramène aux vinyles, aux 33 tours d’une galette de cire quand j'écoute certains cd. Quelques disques flottent de la même manière sur la cire noire, des airs qui réclament ce support, que l’on aurait préféré écouter en saphir, et je pense à Alela Diane quand le son épouse la photo sur la pochette et qu’on se dit qu’il manque le grésillement d’un autre temps, ce son parasite d’un feu de bois qui réchauffe l’âme, comme mes vieux Jethro Tull époque boisée, Incredible String Band ; Joan Baez ; Cohen ou Joni Mitchell.....
Visage en Joconde-sioux, sombre sépia d'un folk contemporain..2006 et déjà une référence , un totem qui passe encore comme un miracle.
Et, sur des pas de danse tribale étourdissante, je craque l'allumette sous le bois sec pour écouter comme il se doit « The pirate's gospel »...à défaut de ne plus être outillé Hi-Fi.
Visage en Joconde-sioux, sombre sépia d'un folk contemporain..2006 et déjà une référence , un totem qui passe encore comme un miracle.
Et, sur des pas de danse tribale étourdissante, je craque l'allumette sous le bois sec pour écouter comme il se doit « The pirate's gospel »...à défaut de ne plus être outillé Hi-Fi.
Alela Diane 2006 "the pirate's gospel" label : fargo
quand on aime : marissa nadler; moriarty; emily jane white......
http://filipo-photo.over-blog.com/article-23052335.html