Le métronome bat la castagnette, et les instruments dansent autour à la mesure d’un flamenco introverti. Un monde décousu éraille quelques accords jazz en trans. Des élans classiques hispanisant sont finalement décomposés afin de mieux réapparaître dans leur propre texture..
Comme le premier album de Thomas Bonvalet, « porte d’octobre » est court et sans piste. Un format fidèle et une densité musicale acidifiée par une déstructuration des arpèges afin de les proposer dans une optique différente. Les tempi sont soutenus et l’exploration musicale profonde. La guitare est branchée alors qu’elle heurte et raille l’homogénéité du disque dans un brouhaha apocalyptique. Un objet précieux, un autre tableau.
Le Cheval de frise se meurt et L’Ocelle Mare resplendit d’une fraîcheur créative qui explose tous les formats et dérange les formes les plus académiques.
Comme le premier album de Thomas Bonvalet, « porte d’octobre » est court et sans piste. Un format fidèle et une densité musicale acidifiée par une déstructuration des arpèges afin de les proposer dans une optique différente. Les tempi sont soutenus et l’exploration musicale profonde. La guitare est branchée alors qu’elle heurte et raille l’homogénéité du disque dans un brouhaha apocalyptique. Un objet précieux, un autre tableau.
Le Cheval de frise se meurt et L’Ocelle Mare resplendit d’une fraîcheur créative qui explose tous les formats et dérange les formes les plus académiques.
L'OCELLE MARRE 2008 "porte d'octobre" label : souterrains-refuges
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